nom ⊱ Wheeler. prénom ⊱ Gwenaëlle. surnom ⊱ Gwen âge ⊱ 25 ans. date de naissance ⊱ 2 mars. lieu de naissance ⊱ Dundee, Ecosse nationalité ⊱ Ecossaise. origine(s) ⊱ Ecossaises. métier / étude ⊱ PDG de la Wheeler Compagny.  orientation sexuelle ⊱ hétérosexuelle.  situation civile ⊱ célibataire.  caractère ⊱ manque de confiance en elle, bosseuse, méfiante, aimante, chiante, caractérielle, intelligente, audacieuse, curieuse.  ressemblance avec Elsa de La Reine des Neiges ⊱ Gwenaëlle souffre d'une maladie depuis sa naissance. Sa peau ne se met jamais à la température moyenne corporelle. Elle reste froide comme la glace. Elle peut rester l'hiver des heures dehors, en robe, sans avoir un frisson. Au contraire, l'été, elle ne peut rester dans la chaleur sous peine de tomber gravement malade. groupe ⊱ Mérida.  signes particuliers ⊱ Elle est accroc au thé glacé à la pêche et à la mangue. # Elle a toujours été dans l'ombre de sa soeur, elle l'a toujours envié d'être aussi sociable. # Elle adore les bonhommes de neige et sa saison préférée est. Bien évidemment l'hiver. # Elle a le tatouage d'un flocon de neige au niveau de sa nuque. # Elle ne s'est jamais remise de la mort de ses parents, elle croit que son père est mort en la détestant. # Quand elle a pris l' entreprise familiale en main à.l'âge de 18 ans cela a fait beaucoup jaser, mais elle a prouvé qu'elle avait sa place. # Si elle ne parle presque plus à sa soeur c'est pour éviter de la blesser une nouvelle fois. # Elle adore la musique classique. # Elle a un chat qui est blanc comme la neige. #

1988
Ma naissance ? On pouvait dire que j'avais fais une frayeur à mes parents et au personnel médical. Vous savez un bébé a besoin de la chaleur de sa mère, se réchauffer. Moi, on n'avait beau me mettre dans une couveuse ou ma mère me serrait dans ses bras je restais froide comme la glace. Au début on a pensé que je ne survirai pas, que j'étais mourante. « Pourquoi voulez-vous lui donner un nom alors qu'elle ne va pas survivre ? » C'était la question qu'avait posé le médecin à mes parents. Mon père s'est mis en colère, ma mère a pleuré. Ils ne voulaient pas croire que j'allais mourir. Ma température corporelle était loin d'être à la norme. Je n'étais pas bleue, je n'étais pas gelée, j'avais juste la peau froide comme la glace. « Je n'ai pas envie que notre fille meurt... » Ma mère avait murmuré ces mots en me serrant contre son cœur. Pourtant, j'avais une respiration normale, je mangeais, j'étais en pleine santé mais pour les médecins mon cas n'était pas normal. Au fil des jours, ma peau ne se réchauffait pas, mais je vivais et mes petits poumons étaient même ampli d'un grand souffle vu à quel point je pouvais pleurer. Mon père me déposa un baiser sur le front et après trois jours, mes parents décidèrent de m'appeler Gwen, signifiant blanc. Quelques mois plus tard, un médecin convint que j'avais une maladie rare. Ma peau ne se réchaufferait jamais, mais ce n'était pas pour ça que j'étais en danger. Non, c'était une simple maladie qui gardait ma peau froide comme la glace. Il prévint seulement mes parents que je ne supporterai pas la chaleur, que cela me rendrait malade comme une personne normale était malade à avoir trop froid. Je fus élevée normalement, enfin presque, mes parents m'éloignaient des gens trop curieux et j'avais très peu d'amis. Cinq ans après ma naissance, ma sœur Saoirse, vint au monde, son prénom signifiant liberté.

1999
« Tu viens jouer avec moi Gwen ? Dis dis ! » Je levai les yeux  de mon livre et je voyais ma petite -sœur qui sautait en me suppliant de venir jouer avec elle dans la neige. C'était à chaque fois pareil qu'il neigeait, elle voulait que l'on joue dehors. Je laissais tomber mon livre sur le canapé avant d'aller la rejoindre. Par rapport à elle, je n'avais pas besoin de gants, ni d'écharpe. Je pouvais même sortir en tee-shirt sans ressentir le froid sur ma peau. On sortait donc dans le jardin et on commença à jouer. Les minutes s'écoulaient puis les heures. « Saoirse, tu devrais rentrer, tu vas attraper froid ! » Elle avait six ans, j'en avais onze. « Non je veux rester avec toi ! » Elle ne comprenait pas que l'on était pas pareil. Moi je ne risquais rien, elle oui. Ce qui devait arriver, arriva. Quelques jours plus tard Saoirse est tombée malade. Gravement. Elle avait attrapé froid, un simple rhume qui a fini en pneumonie. Le médecin était à deux doigts de l'hospitaliser, mais finalement elle est restée à la maison. Je m'en voulais éperdument. « Combien de fois on doit te le dire Gwen ? Ta sœur n'est pas comme toi ! » Mon père était en colère et je pleurais toutes les larmes de mon corps. « Mais.... mais je lui ai dis.... je lui ai dis de rentrer... » J'étais blessée par le regard accusateur de mon père, ma mère l'a pris à l'écart pour lui dire que ce n'était pas de ma faute. Ce jour là, mes parents ont décidé que je ne sortirai que pour aller à l'école, pour ne pas qu'un autre événement se produise. Ce jour-là j'ai commencé à avoir moins d'amis, voir pas du tout. Il ne restait que ma meilleure amie qui ne me regardait pas avec des yeux de curieux.

2006
Dix-huit ans et ma vie venait de s'écrouler. Ces images passaient sans cesse à la télévision. « L'actualité du jour est sans nulle doute la mort du PDG Wheeler et de sa femme dans l'accident de leur jet privé.... » Je mis mes mains sur mes oreilles, je ne voulais plus entendre ça. Je ne voulais plus entendre cette nouvelle qui avait atteint notre famille. On était seul au monde avec ma sœur. On ne s'était même pas adressé la parole. On pouvait dire que l'on avait perdu notre langue. Bien entendu il y avait toujours Hector, le majordome qui avait toujours pris soin de nous, présent à nos côtés mais ce n'était plus pareil. Jamais plus on ne verrait papa et maman. Jamais.
Cela fait six mois que le drame avait eu lieu et j'étais en train de m'habiller. C'était le grand jour. Le jour J. Hector m'aidait à bien me coiffer. « Vous savez mademoiselle, vous n'étiez pas obligée de faire ça. » « Je sais, mais je le veux. Je veux montrer à tous que je ne suis pas celle que l'on pense. » « Je suis sûr que vos parents sont fiers de vous. » Oui j'espérais. Je mis mes gants blancs, je me regardais dans une glace. Aujourd'hui était un grand jour, aujourd'hui je revenais au devant de la scène. On avait toujours parler de Saoirse Wheeler, mais jamais de Gwen Wheeler. Je descendis les escaliers, ma sœur m'attendit, elle était ravissante comme d'habitude. Je lui adressais un sourire. Depuis la mort de nos parents, on avait jamais réellement parler depuis la mort de nos parents. C'était comme si le peu de lien qui nous unissait depuis ''l'accident'' d'il y a sept ans, s'était à jamais effritée. On traversa la ville à l'arrière de la voiture. Quand on fut arrivé, je pris une grande respiration. On marchait à travers les journalistes qui posaient un tas de question. Enfin, j'étais là, devant ce pupitre. Des caméras rivées sur moi, des journalistes à l'affût de mes paroles. « Moi, Gwenaëlle Wheeler, je prends à partir d'aujourd'hui la direction de Wheeler Company. Je serai l'actuelle PDG. » PDG à dix-huit ans vous imaginez ? Dans le testament, mon père avait bien précisé qu'il voulait que ce soit un membre de la famille et personne d'autre qui prenne les rênes de l'entreprise. Six mois après l'accident, l'actualité à l'ordre du jour était encore sur notre famille : « On vient de me signaler que Gwenaëlle Wheeler, la fille de James et Eleanor Wheeler dont on n'avait presque aucune connaissance, a annoncé qu'elle prenait la direction de la Wheeler Company. On peut se demander si à dix-huit ans, elle sera à la hauteur de cette tâche. »

2012.
« Attends, tu quoi ? » Je regardais ma sœur. J'étais dans le bureau de la firme et elle venait, toute contente au bras de ce sale type. Ce sale type, c'est un mec qu'elle a rencontré lors d'une soirée de la boîte. J'avais enfin organisé la première soirée de l'année, et elle l'avait rencontré et elle m'avait rapporté qu'elle était tombée « raide dingue de lui » et que c'était « l'amour de sa vie ». Vous voyez le topo ? Croire au prince charmant à son âge, c'était du délire et c'était encore plus délirant ce qu'elle venait de me dire. « On veut se marier ! » Je crois qu'à ce moment précis il aurait fallu me prendre en photo. Je crois que je tirais une tête pas possible et j'éclatai de rire. « Très drôle Saoirse, mais je n'ai pas le temps. » Je vis la tête de ma soeur et je compris qu'elle était très sérieuse. « Sans vouloir vous offenser mademoiselle Wheeler, je suis très sérieux ainsi que Saoirse. » Je fixa mes yeux sur lui. Ce sourire d'hypocrite il pouvait se le garder. Je n'avais aucune confiance en lui. Jamais, il n'aurait ma sœur ! Elle n'avait que dix-huit ans et elle pensait vivre le grand amour. Se marier à dix-huit ans on aurait tout vu ! Bon d'un côté, vous me direz j'avais pris l statut de PDG à dix-huit ans ce n'était pas à moi de faire les leçons de morale ! « On en reparlera ce soir. » Fis-je en regardant ma sœur, et ignorant l'abruti à côté d'elle. « Mais... Gwen... » « Tu n'es pas à quelques heures près non ? » Elle quitta les lieux, avec un sourire pensant que c'était dans la poche. Le soir même, Saoirse fondit en larmes en me disant que je ne la comprenais pas, que jamais je ne pourrais la comprendre. « Tu as un cœur de glace ! » Cette réplique me fit mal. J'avais la gorge qui se nouait. « Je te protège ! Comme je dois le faire ! » « En m'empêchant d'être heureuse ? » « Ce type ne t'aime pas ! » « Mais qu'est ce que t'y connais à l'amour ?! » Elle monta dans sa chambre et je soupira longuement. Elle ne comprenait pas, personne ne pouvait comprendre. Saoirse avait toujours vécu dans l'amour de tout le monde et moi on me regardait comme un monstre, comme quelqu'un de bizarre.

2013
La situation familiale était pesante, mais maintenant j'avais bien un objectif en tête pour ne pas y penser : Wheeler Compagny était en train de progresser au niveau économique et je n'étais pas peu fière de mon travail. Saoirse voulait partir habiter avec son fiancé crétin, car oui même si j'avais dis non elle ne m'avait pas écouté. A croire qu'elle voulait à tout prix avoir le cœur brisé. J'avais profité du midi, pour prendre une pause déjeuner assez longue. Je lisais tranquillement mon journal. Depuis que j'avais enfin pris une place dans la société, je me sentais mieux. Loin de l'enfermement dans ce manoir familial. Je m'étais épanouie et pourtant je n'arrivais pas à passer au-delà des regards des gens. Je savais que par moment on m'épiait. Pourquoi ? Car j'étais différente ? J'avais laissé un généreux pourboire et j'étais sortie dans la rue. Il neigeait. J'étais en robe, seulement en robe, même pas un gilet par-dessus. Oui, j'étais vraiment bizarre aux yeux des gens. « Mademoiselle ! » Sans doute un autre type qui allait me traiter de malade ! Je ferma les yeux un moment avant de me retourner. « Vous avez fais tomber ceci. » Fit-il en me tendant un de mes gants blancs. Mes gants dont je protégeais mes mains. Je ne touchais jamais personne de ma propre peau, comme par peur de voir de l'effroi dans leur regard. Je le pris délicatement, ne voulant en aucun cas toucher la peau du jeune homme. « Merci... » Je me retournais afin de continuer mon chemin. « Attendez ! » Il me prit par le bras et par un réflexe, je le repoussa. Il l'avait senti, j'en étais sûre, vu les yeux qu'il avait. « Je....je... » Je ne finis même pas ma phrase que je partis en courant. Il avait ressenti ce froid glacial de ma peau. J'en étais persuadée. J'avais couru assez vite jusqu'à l'entreprise avant de monter dans mon bureau et de fondre en larmes. J'avais encore cette peur, cette peur d'être vu comme un monstre.

2014
« Gwen... Gwen ! » Je sortis de mes pensées en regardant ma meilleure amie. La seule personne qui ne me traitait pas différemment ; On se connaissait depuis l'école primaire. « hum, quoi ? » Je la regardais boire un chocolat chaud, boisson que j'avais toujours détesté, rien que l'odeur me donnait des nausées. Je préférais nettement les boissons froides et c'était pourquoi j'étais en train de boire un thé glacé... en plein hiver. « Je crois qu'il y a un mec qui craque pour toi. A huit heures. » Elle avait un sourire malicieux aux lèvres et je tournais un peu le regard pour voir qui c'était. Oh mon dieu. C'était lui. LUI. Il se levait de sa place pour s'approcher. Panique. Panique. Maddie se levait de la table. « Qu'est ce que tu fais ?! » « Quoi ? Je te laisse avec lui, en plus il est carrément sexy ! Good luck ! » Je restais bouche bée. Elle avait pris sa tasse pour aller dans un coin du café. Sans doute pour être une fervente spectatrice de ce qui allait se produire. Le jeune homme s'était encore plus rapproché. « Je peux m'asseoir ? » Je n'avais pas répondu, j'étais figée. Il souriait en  coin. Maddie me fit des signes de tête. « Euh...oui. » Sinon elle allait sans doute venir m'étriper. « Un thé glacé en hiver... c'est audacieux... » Je commençais à être mal à l'aise. « Enfin, je ne dis pas ça pour critiquer, j'aime bien les choses qui sortent de l'ordinaire. » Merci, j'étais donc un monstre de foire. Je ne répondis rien, les yeux rivés sur mon verre et les glaçons qui flottaient. « Vous êtes venu pour vous moquer de moi comme tout le monde ? » Fis-je dans un murmure. « Non pas du tout. Je ne vois pas pourquoi je me moquerai de vous, vous êtes ravissante, un brin de fantaisie et vous êtes audacieuse. Je vous ai vu à la télévision le jour où vous avez succéder à vos parents... » Je relevais doucement le regard vers lui. Oui il n'était pas mal, et il avait l'air gentil. « Pourquoi je l'ai bien vu dans vos yeux ce jour là... » « Quand j'ai touché votre peau ? Oui, parce que je m'attendais pas... » « … à ce qu'elle soit froide comme la glace. » Il grimaça. Il avait l'air gêné. « Je ne vous en veux pas, tout le monde me considère comme un monstre. » « Il ne faut pas dire ça. Vous n'avez rien d'un monstre, ou alors vous êtes le plus beau monstre que j'ai vu. » « Vous me draguez ? » Déclarais-je en l'observant et il rigola légèrement. Je vis Maddie de loin qui levait les deux pouces en l'air comme un signe de victoire. Je me sentais bien à ses côtés. Il s'appelle Carter, et je crois que ce jour-là j'ai ressenti un coup de foudre.

pseudo/prénom ⊱ silver.sky, amélie. âge ⊱ 22.  où as-tu connu le forum ⊱ Anaïs of course, j'ai eu l'exclu   . tes impressions dessus ⊱ héhé vous avez fait un bon boulot    des suggestions à faire ⊱    un double compte ? ⊱ nop un dernier mot ⊱ oui je m'incruste déjà    CETTE MOUSTACHE     .