nom ⊱ Dulac, patronyme aux agréables consonances françaises, venant d'un petit village traditionnel breton où vivait son père tant aimé avant qu'il ne vienne en Écosse. prénoms ⊱ Naïs-Sélène Cheasly. Naïs pour rappeler la beauté et la force sauvage de la mer déchaînée sur laquelle veille les nymphes, ô grandes beautés des eaux ravagées. Sélène pour rappeler une fois encore que la France est belle et chantante, prénom qui lui vient de la mère de son père. Et enfin Cheasly, pour le port de mer et parce qu'il fallait bien que l'enfant porte un nom anglophone. surnom ⊱ Cheass, ce qui s'apparente singulièrement à Cheshire, un chat que nous connaissons tous. âge ⊱ Vingt-trois ans. date de naissance ⊱ Le quatorze avril mille neuf-cent-quatre-vingt-dix, une journée étrange où la douceur du soleil s'est mêlée aux éclats miroitants d'une pluie glacée. lieu de naissance ⊱ Faslane, en Écosse, où elle y a vécu une grande partie de sa vie, jusqu'à ses dix-neuf ans. nationalité ⊱ Écossaise. origine(s) ⊱ Le sang et la distinction française coulent dans ses veines. métier / étude ⊱ Elle n'a fait aucune étude et s'est employée à son propre compte afin de faire de sa vie ce qu'elle aime : imaginer. Elle écrit donc des livres, pour enfants comme pour adultes, qu'elle illustre elle-même.  orientation sexuelle ⊱ Hétérosexuelle.  situation civile ⊱ Célibataire.  caractère ⊱ secrète + réservée + mystérieuse + hypersensible + solitaire + intuitive + rêveuse + angoissée + fragile + impressionnable + altruiste + souriante + curieuse + malicieuse + possessive + instable + colérique + impulsive + obsessionnelle + déterminée.  ressemblance avec Alice Liddell de Alice in Wonderland ⊱ Son imagination débordante et sans nul doute ses obsessions caractérielles qui surgissent en même temps que ses crises passagères de folie douce. Grande rêveuse, elle a fait de ses hallucinations son métier - le monde dans lequel elle s'est enfermée la soulage, la réconforte et lui donne mille et un frissons à la fois et c'est sur le papier qu'elle exprime son Wonderland. groupe ⊱ Flynn. signes particuliers ⊱ Cheass est atteinte d'une maladie neurodégénérative dont l'origine est inconnue et qui ne peut être soignée par aucun traitement. Son cas est rare, si ce n'est unique et la seule chose qui la soulage sont les quelques anti-douleur qu'on lui prescrit sous faibles doses, de peur qu'elle ne retombe dans la drogue. Sa maladie font d'elle une jeune femme instable quoi qu'inoffensive - elle est parfois sujette à des crises de folie sous toutes formes. + Elle a une ancre tatouée au creux du poignée, piètre hommage à son père qui s'est sacrifié pour la Royale Navy. + Cheass est croyante et surtout pratiquante et se rend ainsi à la messe tous les dimanche. À ses yeux, la foi est la seule à laquelle elle peut se fier et elle a l'impression de ne pas être seule dans son combat. Sa conversion est récente et remonte à l'année suivant le décès de son père - elle avait besoin d'une chaumière et c'est dans les textes bibliques qu'elle a trouvé le réconfort qu'elle cherchait. Néanmoins le Saint Seigneur n'aura pas empêché sa descente aux enfers et pendant un temps, elle aura fait impasse sur sa croyance pour se laisser engourdir par les substances hallucinogènes. Depuis qu'elle est revenu de son coma, et plus particulièrement depuis qu'elle s'est installée à Dundee avec sa mère, elle reprend goût à la foi. Autre détail, elle porte un chapelet autour du cou, bijou qu'elle glisse sous le tissu de son vêtement pour n'être exposé à la vue de personne.

pseudo/prénom ⊱ empty spaces. sur la toile mais soyons intimes, appelez-moi sarah.   âge ⊱ dix-huit ans et presque toutes mes dents.  où as-tu connu le forum ⊱ par Lucas, sur prd ewé.   tes impressions dessus ⊱ il est vraiment très joli, j'ai hâte de voir ce qu'il va donner.    des suggestions à faire ⊱ nope captain.   un double compte ? ⊱ nah nah nah.   un dernier mot ⊱ i'm the banana king.  (comprendra qui voudra.)

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sweet dreams @ emily browning.

2009 - FASLANE HOSPITAL. Le tintement incessant de la machine chatouille tes oreilles – pendant une fraction de secondes tu plisses plus fort les paupières dans le vain espoir volatile de t’emmurer dans une bulle de silence. Le bout de tes doigts s’agite, comme une nuée de fourmis rampant fébrilement sur ta peau entaillée. La gorge te brûle lorsqu’une goulée d’air piquant passe la barrière de tes lèvres craquelées. Chacun de tes muscles n’est plus – la douleur est insupportable et le devient plus encore à mesure que les secondes s’effritent et que ton corps s’anime à nouveau d’un souffle de vie. Et puis vient la morsure impitoyable – ton sang bouille dans tes veines à une allure folle et un cri amer s’échappe d’entre tes dents jusque là serrées. La machine s’affole. Les bips s’en vont crescendo en même temps que ton palpitant qui bondit comme s’il voulait un instant échapper à ta poitrine. Tes prunelles s’ouvrent, exorbitées, sur des murs blancs et froids, sur ses draps unis qui te griffe de toute part, sur ces gens qui partout autour de toi courent dans un tourbillon flou de blouses. Tes poumons expulsent de nouveau un hurlement sauvage, tes narines palpitent avec l’odeur nauséabonde de javel et de désinfectant, le cœur te vient au bord des lèvres. Tu te redresses, ongles et dents pour écarter ceux qui t’étouffent, tire sur tes habits pour te rallonger.  La peur te ronge. Un pincement au creux du coude. Et soudain encore, le noir.

Qui nous fait éviter que la vie ne s’émousse. Qui franchit les limites, les rejette, les repousse. Étincelle de l’esprit venant à la rescousse. Malmenant l’ennui, lui envoyant des secousses. Volée d’éclats de rire parsemant le bonheur. Distributrice de nuits paraissant quelques heures. L’issue d’une agonie faisant rebattre le cœur. Jetant la raison donnant aux sens leur valeur. Sculpteure de cailloux les transformant en montagne. Jongleuse des lois mettant la bienséance au bagne. Détentrice des clés des pays de cocagne. Folie douce à jamais restera ta compagne.

Un murmure. Un souffle disparu qui te paraît si lointain. Une pression, aussi légère qu’un papillon, sur tes doigts engourdis. Tu entrouvres à peine les paupières tandis que la clarté du jour t’agresse la rétine. Un halot blanc se dessine autour du visage rongé d’inquiétude de ta tendre mère. « Maman… » Faible sourire – la fatigue ancré sur son visage, tel un dessin dans la cire, te retourne l’estomac. Sa main tremblante passe sur ton front moite de sueur, caresse le sommet de ton crâne et tu te laisses aller contre ce geste réconfortant. « Où est papa ? » Ta mère suspend sa caresse, retirant sa main dans d’infinies précautions. Elle se mort la lèvre. Un sanglot pend à ta bouche – tu redoutes sa réponse.

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FLASH BACK - A COUPLE OF WEEKS AGO, FASLANE RIVER. Ton regard s’égare à l’infini, se perdant dans l’écume des vagues qui se jettent sur la digue. Ton cœur se balance et tu pinces la bouche pour retenir la bile qui menace de jaillir. Tes doigts fébriles glissent sur la feuille, laissant les senteurs d’herbe séchée caresser tes narines. La brise marine te fouette le visage, emmêlant tes cheveux alors que le sel te brûle les yeux à travers tes larmes amères. Un clic – une flamme. Les panaches de fumée s’échappent de tes lèvres entrouvertes et disparaissent dans le néant. Tout comme lui a disparu. Parfois tu entends encore son accent chantant et son rire tinter à tes oreilles – ou alors sont-ce les néfastes effets de ta surconsommation de plantes hallucinogènes. Tu as l’impression qu’il est là, à côté de toi. Alors tu souris et tu ris de toi-même, pathétique assise sur les galets. « Bonjour papa. » Tu murmures pour le vent et tes paroles sont bien vite amenées à l’horizon. « Tu me manques tu sais… » La tête te tourne, tu halètes difficilement et bientôt tu te noies dans tes propres sanglots. « Pourquoi t’es parti… pourquoi tu m’as laissée ? » Tu écrases furieusement le joint sur les pierres, triturant tes doigts, plantant tes ongles dans la chair afin de rester éveillée. La douleur est si intense – tu fouilles dans tes poches, en sort un flacon orange empli de pilules colorées. Et de toute ta force tu lances tes médicaments vers le large. À quoi bon. « C’est injuste, tellement injuste… » Tu suffoques. Ton cœur se serre. Tes muscles se raidissent. Alors tu t’allonges sur les algues sèches et les galets poreux, figeant tes opales vitreuses sur les cieux nuageux. Et tu comptes. Un. Deux. Trois… Tu perds le fil en même temps que tu perds connaissance.

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2009 - FASLANE HOSPITAL. « Il est mort chérie. Il y a quatre ans… » Le gong de la fatalité t’assomme et résonne mille fois dans ton esprit. Tu ne comprends pas – tu n’as jamais compris. Les quatre dernières années semble t’avoir été volées, arrachées rageusement à une existence tangible. Tu étais fragile. Enfant perdue dans des abysses trop noirs et trop profonds. Tu coulais, lentement vers le fond. La disparition de ton père. La maladie qui chaque jour te faisait perdre un peu plus la raison. La drogue. L’arrêt volontaire de ton traitement. L’overdose. Le coma. Tout n’était qu’irréel à tes yeux. Tu te sentais flotter entre deux eaux : une réalité trop floue et un échappatoire trop vaste, trop grand. Tu te laisses tomber sur l’oreiller, vaseuse. « J’ai peur. » Cri murmuré d’un désespoir grandissant qui s’enroulait lentement autour de ton cœur – telles les ronces d’une mauvaise plante s’enracinant vicieusement en toi. « Je sais chérie… Je sais. » Ses opales embuées de chagrin te poignardent de douleur – c’est elle qui a peur, non toi. Elle est effrayée par le monstre que tu es devenue. Folle – voilà ce que murmure sa voix intérieure. Folle. « Je ne suis pas folle… » Et là encore, le présent t’échappe et l’obscurité t’engloutit.

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FLASH BACK - 1996, DULAC HOUSE. « Dis papa, tu me lis une histoire ? » Une main forte et râpeuse vient ébouriffer ta tignasse dorée tandis qu’un rire cristallin brise brusquement le silence religieux. Frêle comme la poupée de porcelaine qui git sur le sol, tu te blottis entre les bras de l’homme, cherchant avec cette lueur malicieuse brillant dans tes prunelles d’acier le réconfort et la chaleur d’un geste intime entre un père et sa fille. Doucement tu frottes ton visage contre le pull rêche de ton père, comme pour le supplier silencieusement d’accepter ta requête d’enfant. « Il est l’heure de t’endormir princesse. » Tu t’écartes vivement, croisant les bras sur ta petite poitrine et arquant les sourcils avec cette fausse moue dédaigneuse que tu sais si bien adopter. Ton père sourit tendrement et t’attrape gentiment la joue pour la tirer – tu lui montres ta langue, boudeuse. « Oh allez s’il te plait. J’ai peur des cauchemars. Et des monstres. Raconte-moi une belle histoire, s’il te plait… » Il rit de nouveau. « Très bien, mais après au lit ! Tu acquiesces. Tu connais l’histoire du lapin blanc ? » Secouant ton visage, tu te laisses glisser plus profondément sous les draps, buvant chacun des paroles de ton paternel qui, cette nuit là encore, te laissa rêver de pays enchantés.

TEN YEARS LATER, DULAC HOUSE. La trappe du grenier s’entrouvre dans un grincement sinistre et les grains de poussière virevoltant te brûlent les narines. Retenant ta toux, tu te hisses sur le plancher craquant, lampe de poche entre les dents, et t’avances dans la semi obscurité en priant que ta mère n’entende pas tes pas incertains. Une vieille boîte, rongée par le temps passé et l’oubli – tu l’ouvres avec précaution, le cœur serré, la gorge nouée. Tes doigts agrippent un grimoire aux pages jaunies, aux odeurs moisies et tu les laisses courir sur la couverture abîmée. Tes yeux se ferment sur tes larmes naissantes et dans un murmure, le silence se brise. « Où est le lapin blanc… » Ô douce folie qui s’empare de ton âme.

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alice therapy.

DUNDEE – 2013 Tu détestes cet endroit – peut-être même plus que tu ne détestais Faslane. Leurs regards te dérangent. Tu te sens pénétrée jusqu’à l’os chaque fois que leurs prunelles vicieuses se posent sur toi. Ton souffle est rauque, sifflant, tu voudrais courir. Freak. Tu n’es qu’un monstre, une abomination. Ils ont peur. Ils t’épient. Ton palpitant accélère son rythme effréné dans ta poitrine, à tel point que cela en devient douloureux. Ta gorge se serre, tu ne parviens plus à respirer. Ta vue se brouille, ton pas s’élance sur les pavés. Ils te connaissent tous – ils savent d’où tu viens et qui tu es. La pauvre gamine malade. La folle. Tu te laisses tomber sur un banc, non loin du fleuve. Le gargouillis de l’eau t’apaise et tes lèvres s’étirent en un sourire décharné. Plus rien n’existe – tu prends ton visage entre tes mains tremblantes, paupières closes. Et alors, les méandres d’un souvenir. Une odeur familière – celle de la nature. Une présence. Pas loin. Juste là. Tu rouvres les yeux. Il tire une barre. Puis deux. Les panaches viennent à toi, tu inspires à plein poumon. Senteur de réconfort et de chute à la fois, si beau et si laid. Son visage est grignoté par l’herbe, ses pupilles dilatées comme jamais. Il tangue sur son assise, un sourire béat. Il jette un œil pensif à sa montre. Et en une seconde, il a disparu.

Vous vous croisez sans cesse. Une fois. Deux fois. Un regard, furtif. Des souvenirs qui affluent. Des odeurs, des images. Et ces voix qui reviennent. Cette obsession qui t’enchaîne. Et pourtant jamais un mot. Tu observes de loin – il s’enfuit, pressé, le regard accroché à l’aiguille qui trotte sa route sans attendre personne. Tu suis son sillage, sans bruit, pour finalement faire demi-tour et recroiser son chemin le lendemain. « Où vas-tu ? » Lui demandes-tu un jour, alors que tu passais sur sa route une énième fois. « Je suis en retard. » Un sourire échangé. Un silence partagé. Il est défoncé. Il attrape ta main, t’invitant à le suivre, et tu emboîtes ses pas sans rien dire.

Tu sais que c’est mal. Qu’il va te faire replonger. Qu’il faut que tu arrêtes – que vous arrêtiez. Douceur malsaine qui te broie le cœur. Votre unique lien – alors tu tires une barre, puis deux, à ton tour. Et parmi les vapeurs, c'est douloureux. Et fort. Tu as l'impression de le connaître déjà. À travers ses pas légers qui tanguent. Ses paupières closes. Ses mèches folles. Il cultive le mystère. Disparait en un battement de cil. Refuse ta compagnie puis te désire tout près à la fois. La brûlure est vive. Il se passe quelque chose. Dans vos regards. Dans vos corps. Deux inconnus. Prêts à se noyer l'un dans l'autre. C'est soudain. Unique. Inavoué. Le temps semble s'être arrêté - le monde ne tourne plus rond. Plus rien d'autre ne compte. Il retourne ton univers, retourne ton cœur meurtri, lacère ton âme vagabonde de voyageur en vadrouille. Il est ta morphine. Ta douleur. Celui que tu attendais. T'entraînant dans ses méandres. Dans ses folies, aussi noires que les tiennes. Il n'a pas peur - ni de toi, ni de tes démons, ni de tes vices malsains.

Et dans tes éclairs de lucidité, ton esprit s’éclaire. « Il faut qu’on arrête Baile. » Une volute de fumée s’échappe d’entre ses lèvres tandis qu’il porte son regard glacé sur toi. Un soupir s’arrache de sa gorge en même temps qu’un ricanement odieux. « Quoi donc princesse ? » Tu détestes qu’il t’appelle ainsi – comme ton père le faisait. La douleur est intolérable. « Tout ça. La fume, ici, dans l’herbe, comme si nous étions indifférents au temps qui s’enfuit et aux ennuis d’une vie qui nous échappe. J’ai peur Baile, peur de tomber et d’être incapable de me relever cette fois. » Il roule des yeux, fait des ronds avec sa bouche. Tu observes pensive les formes s’envoler vers les cieux. « Arrête ton char bébé. » Tu grinces des dents. « Seras-tu là pour me redresser si je m’écroule ? » Le silence te répond. Un silence opaque, oppressant. Ta gorge se serre. Tu murmures. « Répond-moi… » Toujours rien. « Baile, on peut s’en sortir. Je peux t’aider, tout comme tu peux m’aider. » « Ta gueule ! » La morsure de sa main contre ta joue t’incendie, mais tu ravales les sanglots qui perlent à tes yeux. Il se dresse sur ses pieds en un bond. « Je n’ai pas besoin de l’aide d’une fille aussi tarée que je le suis moi-même. T’es avec moi, ou t’es contre moi Cheass. Fais ton choix. Tu baisses ton visage pour ne plus avoir à croiser son regard assassin. J’me tire, je suis en retard. Ciao bébé. » Et il disparait encore.

J'avais déjà lu la première partie, ce qui explique un peu la "rapidité"    ANYWAY Quelle plume !!        en général, je n'aime pas l'écriture en "tu", je trouve ça tellement bizarre, mais là, cette bizarrerie colle tellement avec le personnage et ce qu'il faut faire passer, cela ajouté à ton talent, c'est plus que génialissime. Oui, je suis fan!   J'ai donc l'honneur de te valider ! Bienvenue à Dundee Tales ! Si tu es un petit peu perdue, tu peux te référer aux annexes ou encore nous poser les questions directement ici. N'oublie pas de venir recenser ton avatar et à venir faire tes demandes de liens, logements, etc. ici. N'hésite pas à créer tes acolytes qui t'accompagneront tout au long de l'aventure dans les scénarios. Nous t'invitons également à participer à notre premier évènement, le bal de fin d'année. Et puis parce que tu aimes tellement notre forum, n'oublie pas de voter toutes des 2 heures sur les top sites qui se trouvent sur la PA. Nous te souhaitons un bon jeu parmi nous, et surtout, éclate-toi !!